Dès le 1er janvier 2023, tous ceux qui construiront des bâtiments artisanaux, industriels commerciaux, hangars et entrepôts dépassant 500 m2 et les immeubles de bureaux excédant 1000 m2 seront dans l’obligation d’équiper leur toiture de panneaux solaires ou de végétaux. Cette nouvelle règle est en lien avec le projet de loi « Climat et résilience ». Aussi, à partir de 2024, les nouveaux parkings de plus de 500 m2 devront appliquer le même règlement.
Grâce à la toiture verte, un immeuble dispose d’une excellente isolation. En effet, il est chauffé en hiver, et rafraîchi en été. Du coup, cela réduit la facture d’électricité. De plus, il augmente son étanchéité et limite les risques d’inondation. Il contribue également à la sauvegarde et la préservation de la biodiversité.
Deux équipes de scientifiques venant d’Allemagne et d’Australie ont fait une découverte inédite. Donc en combinant une installation solaire à une toiture végétalisée, cela offre les moyens d’accroître la production d’électricité, soit près de 8 %. Cela est dû au fait que la transpiration des plantes et l’évaporation d’eau permettent le refroidissement des panneaux. De plus, comme les végétaux captent la poussière, le rendement des modules n’est pas impacté. Cette recherche a été appuyée par des scientifiques australiens. Pour info, ils ont obtenu les mêmes résultats.
Crédit photo : AS_PHOTOGRAPHICS de Pixabay
La combinaison des végétaux et des panneaux solaires
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